Résumé de l’épisode précédent
La première partie de l’atelier s’est déroulé à Bourges du 17 au 21 décembre 2012 et s’est subdivisée en 3 ensembles :
- Une Production Éditoriale du collectif Association des Astronautes Autonomes
- Un Film-essai décryptant l’emballement catastrophiste généré autour du Pic de Bugarach
- Un Atelier qui aborde la question du survivalisme sous ses aspects coopératifs et constructeurs d’autonomie
Appel à participation : Atelier du 18 au 23 février à Orléans
# Thématiques potentielles
- cartographie OSM et outil de gestion collective de ressources locales, producteurs bio locaux, cartographie tactique plans d’urgence, réseaux d’adduction eau énergie télécom
- moyens alternatifs de communication et de reportage (wifi, mesh, piratebox, gsm, radio, streambox)
- internet anonymat, invisibilités numériques
- cabine de communication et d’échange sensoriel, d’alerte et de partage de ressources cognitives
- production nourriture (hydroponie DIY, spiruline) et énergie (mécanique, solaire, …)
- alternatives économiques, décroissance, désertion économique
- techniques de coopération, de survie, résilience vs d’autonomie
- collecte de savoirs-faires, d’expériences et de bonnes pratiques
Organisation
Atelier de 10h03 à 19h49 au 3ème étage, soirées présentations, débats, projections à partir de 21h02 au rez de chaussée, du 18 au 23 février à la Maison Bourgogne 45000 Orléans
Inscription, renseignements : benjamin aàa labomedia ppp net – 02 38 62 48 31
Possibilités d’hébergement, nous contacter
Programme prévisionnel plus précis sur le wiki
Survival Park ?
« Survival Park est un contre-dispositif transmedia pensé et mis en place par un groupe d’artistes à propos de l’emballement catastrophiste autour de l’hypothétique fin du monde du 21 décembre 2012. Survival Park questionne l’émergence d’une économie de la peur comme fruit du débat politique contemporain, et les processus complexes de manipulation symbolique que cette économie peut induire. Avec sérieux, humour et auto-dérision, Survival Park s’approprie le thème du « survivalisme » alors que celui-ci semble être la dernière perspective « de sortie » proposée par une société anxiogène en crise. Survival Park médite enfin sur les réponses métaphysiques qu’apporte notre temps à la peur ontologique générée par une catastrophe imminente illusoire. »